Letra de Canción de guerra (en frances) de Núcleo Terco
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Letra de CANCIóN DE GUERRA (EN FRANCES) de NúCLEO TERCO.
( Núcleo Terco )
Tapis dans les ruines, í bout de forces, exténués
l´aube nous a surpris avec des étincelles et des éclats de mort.
Ils ont attaqué les tranchées, cherchant í briser notre résistance
nous tirons í bout portant et nous utilisons les pelles et les baïonnettes.
des doigts crispés empoignent mes vêtements, le sang gicle sur mes joues
la fatigue se dissipe, la peur disparaît, l´adrénaline monte
quand dans un ultime effort nous déchirons leurs gorges.
Enfin nous voyons leur offensive plier í la tombée de la nuit.
Nous achevons les blessés, leurs souffrances ont pris fin
le soleil í l´horizon observe la barbarie des hommes,
nous récupérons les camarades qui ont donné leur vie aujourd´hui
leur sang nourri notre terre
la Castille pleure des chants de guerre.
Nous nous soutenons les uns les autres, l´air hagard, les yeux fatigués
nous interrogeons les prisonniers, dans leurs yeux on lit la peur
des bandages sales recouvrent les blessures qui leurs laissent peu de temps í vivre
la fureur éclate et ils sont pendus, leurs étendards sont pris.
Nous achevons les blessés, leurs souffrances ont pris fin
le soleil í l´horizon observe la barbarie des hommes
nous récupérons les camarades qui ont donné leurs vies aujourd´hui
leur sang nourri notre terre
la Castille pleure des chants de guerre
l´aube nous a surpris avec des étincelles et des éclats de mort.
Ils ont attaqué les tranchées, cherchant í briser notre résistance
nous tirons í bout portant et nous utilisons les pelles et les baïonnettes.
des doigts crispés empoignent mes vêtements, le sang gicle sur mes joues
la fatigue se dissipe, la peur disparaît, l´adrénaline monte
quand dans un ultime effort nous déchirons leurs gorges.
Enfin nous voyons leur offensive plier í la tombée de la nuit.
Nous achevons les blessés, leurs souffrances ont pris fin
le soleil í l´horizon observe la barbarie des hommes,
nous récupérons les camarades qui ont donné leur vie aujourd´hui
leur sang nourri notre terre
la Castille pleure des chants de guerre.
Nous nous soutenons les uns les autres, l´air hagard, les yeux fatigués
nous interrogeons les prisonniers, dans leurs yeux on lit la peur
des bandages sales recouvrent les blessures qui leurs laissent peu de temps í vivre
la fureur éclate et ils sont pendus, leurs étendards sont pris.
Nous achevons les blessés, leurs souffrances ont pris fin
le soleil í l´horizon observe la barbarie des hommes
nous récupérons les camarades qui ont donné leurs vies aujourd´hui
leur sang nourri notre terre
la Castille pleure des chants de guerre
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