Letra de La promenade de san de Emma Shapplin
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Letra de LA PROMENADE DE SAN de EMMA SHAPPLIN.
( Emma Shapplin )
Je marche í reculons...
Sur un tapis décousu.
Mes jambes, des billes de plomb...
S´déroulent í la déconvenue.
J´ai perdu l´fill de l´histoire...
Depuis qu´j´ai perdu ta raison.
Alors, j´déroule du trottoir,
Un réverbère, l´égout d´la ville, l´horizon.
Si tu me croises au coin d´une rue...
Attends! Attends!
Si tu savais comme j´ai couru.
Tout le temps...
Si tu me croises au coin d´une rue...
Attends, attends...
J´enrage même plus, c´est pas normal!
Tout l´mal qu´on s´est conçu...
C´est du banal, du déjí vu,
(Y a pas d´quoi tuer un c´val)
j´en veux plus!
J´ai perdu la mémoire...
D´avant le noir, le grand fond.
Tout mon passé dérisoire, oté de toi, tourne en rond.
Si tu me croises au coin d´une rue...
Attends! Attends!
Si tu savais comme j´ai couru.
Tout le temps...
Si tu me croises au coin d´une rue...
Attends, (si tu me croises) attends...
Infiniment, j´ai foutu...
Tous mes beaux songes en impromptus,
Dans les gares de triages.
Si tu m´y croises.
Si tu me croises au coin d´une rue...
Attends! Attends!
Si tu savais comme j´ai couru.
Tout le temps...
Si tu me croises au coin d´une rue...
Attends, (si tu me croises) attends...
J´aimerai alors qu´ce soit la fin... du film,
Et qu´on nous laisse pour de bon,
Enlacés de délices...
Félon!
Retrouver un mobile,
Juste le temps d´une saison,
Un jour, une heure, une vie.
Légère et colorée...
Comme un paquet d´bonbons.
Sur un tapis décousu.
Mes jambes, des billes de plomb...
S´déroulent í la déconvenue.
J´ai perdu l´fill de l´histoire...
Depuis qu´j´ai perdu ta raison.
Alors, j´déroule du trottoir,
Un réverbère, l´égout d´la ville, l´horizon.
Si tu me croises au coin d´une rue...
Attends! Attends!
Si tu savais comme j´ai couru.
Tout le temps...
Si tu me croises au coin d´une rue...
Attends, attends...
J´enrage même plus, c´est pas normal!
Tout l´mal qu´on s´est conçu...
C´est du banal, du déjí vu,
(Y a pas d´quoi tuer un c´val)
j´en veux plus!
J´ai perdu la mémoire...
D´avant le noir, le grand fond.
Tout mon passé dérisoire, oté de toi, tourne en rond.
Si tu me croises au coin d´une rue...
Attends! Attends!
Si tu savais comme j´ai couru.
Tout le temps...
Si tu me croises au coin d´une rue...
Attends, (si tu me croises) attends...
Infiniment, j´ai foutu...
Tous mes beaux songes en impromptus,
Dans les gares de triages.
Si tu m´y croises.
Si tu me croises au coin d´une rue...
Attends! Attends!
Si tu savais comme j´ai couru.
Tout le temps...
Si tu me croises au coin d´une rue...
Attends, (si tu me croises) attends...
J´aimerai alors qu´ce soit la fin... du film,
Et qu´on nous laisse pour de bon,
Enlacés de délices...
Félon!
Retrouver un mobile,
Juste le temps d´une saison,
Un jour, une heure, une vie.
Légère et colorée...
Comme un paquet d´bonbons.
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