Letra de Rosas(frances)

Dans un jour de de ceux-ci lesquels je pense généralement "aujourd´hui il va être le jour moins pensé", nous nous avons croisées, tu as décidé de surveiller, aux ojitos bleus qui vont maintenant í ton côté Depuis le moment où je t´ai connue en résumant avec des rapidités du temps de silence te je jure qu´í í personne le j´ai dit í nouveau que nous avons l´enregistrement du monde en se vouloir. C´est pourquoi il attendait avec carita trempée í í laquelle tu arriverais avec des roses, avec mille roses pour moi, parce que tu sais déjí que mo´ils enchantent ces choses qu´il n´importe pas s´il est très idiot, je suis ainsi. et encore mo´il paraît mensonge que s´échappe ma vie en imaginant que tu retournes í pasarte par ici, où vendredi chaque après-midi, comme toujours, l´espoir dit "calme, aujourd´hui peut-être en effet..." En échappant une nuit d´un je bâille du soleil me tu as demandé qu´il te donne un baiser avec bon marché ce qui salent mon amour, ce que te je coûte se taire mo´avec un de de ceux-lí. Ils sont passés six mois et tu m´as au revoir dite, un plaisir coïncider dans cette vie lí je suis resté, dans une main le coeur, et dans les autres excuses que ni te comprenais. C´est pourquoi il attendait avec carita trempée í í laquelle tu arriverais avec des roses, avec mille roses pour moi, parce que tu sais déjí que mo´ils enchantent ces choses qu´il n´importe pas s´il est très idiot, je suis ainsi. et encore mo´il paraît mensonge que s´échappe ma vie en imaginant que tu retournes í pasarte par ici, où vendredi chaque après-midi, comme toujours, l´espoir dit "calme, aujourd´hui peut-être en effet..." Et il est que je commence í penser que l´amour vrai est seulement le d´abord. et il est que je commence í soupçonner que les autres sont seulement pour oublier... C´est pourquoi il attendait avec carita trempée í í laquelle tu arriverais avec des roses, avec mille roses pour moi, parce que tu sais déjí que mo´ils enchantent ces choses qu´il n´importe pas s´il est très idiot, je suis ainsi. et encore mo´il paraît mensonge que s´échappe ma vie en imaginant que tu retournes í pasarte par ici, où vendredi chaque après-midi, comme toujours, l´espoir dit "calme, aujourd´hui peut-être en effet..."